Née en 1986 à Bucarest, Laura Giraud a été adoptée par un couple français.
Depuis 2006, elle entreprend une démarche de découverte de ses origines que ce soit à partir de voyages, avec un jumelage franco-roumain, ou au cours de ses études à l'École Supérieure d’Art de Grenoble se concluant sur un déplacement de 5 mois à Bucarest, permettant de créer un support de dialogue.
A l'aide de la peinture, de la photographie et de la vidéo elle interroge des lieux, des matières comme support à la rêverie. Notamment on retrouve le "filtre" à la fois comme moyen d'expérimentation et comme espace de questionnement, de telle sorte qu'elle donne à voir un travail autobiographique intime.
Elle explore également la relation à la l'histoire et à l'identité à l'échelle de l'individu ainsi qu'à celle de l’objet d’art grâce à son approche en tant que conservatrice-restauratrice acquise suite à sa formation à l'École Supérieure d'Art d'Avignon. Dans sa recherche elle s'intéresse également aux archives sonores de la parole en tant que témoignages.
Depuis 2006, elle entreprend une démarche de découverte de ses origines que ce soit à partir de voyages, avec un jumelage franco-roumain, ou au cours de ses études à l'École Supérieure d’Art de Grenoble se concluant sur un déplacement de 5 mois à Bucarest, permettant de créer un support de dialogue.
A l'aide de la peinture, de la photographie et de la vidéo elle interroge des lieux, des matières comme support à la rêverie. Notamment on retrouve le "filtre" à la fois comme moyen d'expérimentation et comme espace de questionnement, de telle sorte qu'elle donne à voir un travail autobiographique intime.
Elle explore également la relation à la l'histoire et à l'identité à l'échelle de l'individu ainsi qu'à celle de l’objet d’art grâce à son approche en tant que conservatrice-restauratrice acquise suite à sa formation à l'École Supérieure d'Art d'Avignon. Dans sa recherche elle s'intéresse également aux archives sonores de la parole en tant que témoignages.